5 idées pour préparer les études de ses enfants

Bien des parents pensent souffler une fois que son enfant passe le baccalauréat. Mais les dépenses importantes n’apparaissent que là ! La vie universitaire nécessite des frais considérables. C’est pourquoi, pour s’en sortir, il est conseillé de préparer cette charge inéluctable.

Prévoir les frais

Pour pouvoir épargner de l’argent, il faut calculer l’indispensable.

– Frais d’inscription et de réinscription
Même si les institutions publiques affichent des sommes plutôt raisonnables, les institutions privées en exigent des plus élevées qui restent inaccessibles pour les moins pourvues. Ils vont de 18 000 à 25 000 euros pour trois ans ou pour cinq ans.

– Logement
Il arrive que l’université siège loin du domicile parental. Il sera donc nécessaire de louer un logement. Même en colocation, la charge du loyer peut peser lourdement.

– Déplacement
Que l’enfant soit à domicile ou en autre foyer, le déplacement reste une charge active.

– Dépenses quotidiennes
Bien sûr, aller à l’université signifie continuer à vivre normalement. Un étudiant requiert donc une bonne nutrition, des habits appropriés, des frais de documentations et des matériels scolaires. D’autre part, il doit se munir de quoi assouvir ses besoins personnels.

Compte épargne

La solution la plus évidente constitue à créer un compte épargne. Cela permet à l’enfant de débloquer une somme fructifiée plus tard, afin de financer ses études.

Assurance vie

Souscrire une assurance vie se tient une solution tout aussi envisageable. L’assurance ne met pas de plafond de versement.

Investissements

Il est conseillé d’investir dans l’immobilier. Cela concède une entrée d’argent intéressante, un budget qui peut d’ailleurs être épargné. Mais aussi, l’enfant peut y loger durant ses études universitaires. Si l’immobilier se trouve loin du campus, l’argent perçu peut payer les loyers du nouveau domicile de l’étudiant.

Donation temporaire d’usufruit

Les parents peuvent octroyer une donation temporaire d’usufruit. Le donateur (les parents) accorde au donataire (l’enfant) la possibilité de percevoir les fruits de leurs activités. Par exemple, l’enfant encaisse les loyers des immobiliers jusqu’à ce qu’il soit indépendant financièrement. À ce moment, il reviendra, sans encombrement, aux parents d’encaisser les loyers.